LOU + Même Superwoman a parfois besoin de l'aide de Superman.

+ LOU MABLE PENELOPE GRANT

+ bougies soufflées : trente bougies soufflées + surnom(s) : Lou tout simplement ou Penny + nationalité : anglaise, née à Manchester + orientation sexuelle : hétérosexuelle + études poursuivies : a poursuivit des études de droits + métier exercé : est à présent avocate + statut civil : célibataire endurcie + statut financier : très aisé de part sa famille et son travail + qualités : joviale, travailleuse, déterminée, patiente, romantique, drôle, femme enfant, féminine, amoureuse, persévérante, attentive, à la coeur sur la main, toujours positive, sportive, combative + défauts : peu sûr d'elle, prend tout trop à coeur, transparente au travail , timide, n'ose pas assez (toujours au travail) + équipe de foot préférée : PSG !!! + passions : faire du jogging, faire de la boxe, faire du shopping, boire un thé avec ma meilleure amie, passer du temps avec mon frère + personnalité choisie : ressemble à Dakota Johnson + groupe voulu : TERRE-A-TERRE :: REAL LIFE .

+ Je m'appelle Lou et je suis née il y a trente ans à Manchester. C'était un vingt-neuf aout. + J'ai un frère qui a deux ans de plus que moi, il se nomme Maxwell, mais je le surnomme depuis toute petite Maxou. + Nous sommes proches depuis notre plus jeune enfance. Nous jouons ensemble, nous sommes tout le temps ensemble. + Je ne quitte jamais mon élan en peluche que j'ai nommé Barry la grosse crotte. Il ne me quitte jamais. Quand maman le nettoie je reste devant la machine à laver et je le regarde tourner les larmes aux yeux. + Je suis proche de papa. Il m'emmène toujours avec lui lorsqu'il sort. C'est avec papa que j'ai découvert la neige. Je suis amoureuse de la neige. + Maxou et moi on s'amuse dehors à jouer aux super héros. Quand les parents nous disent de rentrer en dit ensemble « mais on joue aux super héros ! » déçus de devoir arrêter. + Papa et maman partent à la banque et nous laisse ensemble. Ils ne reviennent pas et ils ne reviendront jamais. Ils sont tués dans un braquage à la banque. + C'est grand-mère et grand-père qui viennent s'occuper de nous. Pour ne pas qu'on soit davantage perturber ils décident de s'installer dans le manoir des Grant avec nous. Ainsi nous ne changeons pas d'école et nous ne sommes pas séparés de nos amis. + Avec Maxou nous faisons du sport. De la boxe, du jogging. Nous sommes sages et nous avons d'excellentes notes à l'école. Tout se passe pour le mieux, du moins en apparence. + Je souffre énormément de la mort de nos parents, Maxou aussi. Nous désirons vengeance. + Je décide de devenir avocate pour mettre les criminels en prison. + Je suis prise dans une première boite, mais je décide de partir pour rejoindre celle où est ma meilleure amie. + Je suis prise dans une grande boite d'avocats. Je me fais discrète et efficace dans mon travail. + Mon patron, monsieur Levi Grayson est en permanence sur mon dos. Il me donne souvent rendez-vous dans son bureau pour me « secouer ». + Monsieur Levi Grayson est intimidant, classe, beau, sûr de lui, travailleur, indiscret, il obtient tout ce qu'il désire. + Notre relation devient tendue. Il y a de l'électricité dans l'air lorsque nous sommes que tous les deux.

DERRIÈRE L'ÉCRAN

+ pseudo du web : flocon_de_neige + votre nombre de bougies : vingt-cinq bougies + où avez-vous connu le forum : je l'ai fondé + votre toute première impression : je l'adore + présent combien de jours 7/7 + personnage inventé + un premier vote : ... + code à remplir pour le bottin :

Code:: [b]DAKOTA JOHNSON + Lou Mable Penelope Grant[/b]

+ L'HISTOIRE DE VOTRE PERSONNAGE

Chaque nuit, chaque jour, chaque réveil. Je suis prise d'une crise de larmes. Je m'effondre dans mon immense lit bien vide. Le souffle coupé, j'essaye de me reprendre. Je ne sais pas comment sont décédés mes parents, mais toutes les nuits je revis à peu près les mêmes scènes. Je les vois, à la banque, faisant la queue au guichet pour retirer du liquide ou pour demander un renseignement. Ils arrivent à bout de courses quand, des braqueurs arrivent. Ils tirent dans tout ce qui bouge, notamment mes parents. J'entends très nettement le coup partir et, je me réveille secouer comme toujours. Des larmes roulent sur mes joues. Je suis prise de crises d'angoisses, je tremble comme une feuille et je n'ai plus de souffle, comme si j'avais fait un footing un peu plus long que d'habitude. C'est toujours à la même heure que je fais ce cauchemar et, il m'est impossible de me rendormir ensuite. Alors, comme toujours j'enfile des vêtements pour courir et je fais mon jogging alors qu'il fait encore nuit. Mes écouteurs dans les oreilles j'écoute des chansons tristes, comme toujours, je n'en connais pas d'autres. Je cours jusqu'à épuisement. Souvent il pleut, mais cela ne m'arrête pas, au contraire, j'aime courir sous la pluie. C'est comme si je me lavais de tout et cela me fait du bien dans le fond. Je crois … Toutefois, il faut que je retourne chez moi, pour me doucher, me restaurer et m'habiller afin d'aller travailler. J'ai de nombreuses activités en dehors de mon travail, comme le sport et les oeuvres de charités. Pour le moment je me contente de rentrer afin de me doucher. L'eau brûlante dénoue mes muscles endoloris. Je laisse alors mes larmes se mêler à l'eau chaude. Je ne m'attarde pas dans la salle de bain. Je sèche rapidement mes cheveux et j'enfile un tailleur avec des Louboutin. Je prendrais un moka en passant devant un Starbucks, peut-être un cookie aussi. Je travaille dans une boite prestigieuse de Manchester. Je suis avocate. Je crois que j'ai toujours su que j'allais le devenir. C'était cela ou inspecteur de police pour combattre le crime. « Bonjour. » Je souffle alors à mes collègues que je croise dans l'ascenseur. Je suis prête à gagner mon bureau afin de travailler comme toujours. Toutes mes affaires me tiennent à cœur. Je travaille toujours à fond pour mes clients. La journée passe assez rapidement, je n'en ai pas à me plaindre. Aujourd'hui je dois me rendre chez mon psychiatre. Il m'aide beaucoup. Il me comprend. Je crois du moins. J'en ai vu presque une dizaine et c'est la première fois que j'ai la réelle sensation d'avancer. M'emparant de mon MacBook Pro, de mon sac-à-main ainsi que de mes affaires, je m'y rends en taxi. D'habitude il n'est jamais en retard. Pourtant, aujourd'hui il fait exception à la règle. Il a pour coutume de me donner rendez-vous assez tard étant donné que je travaille toute la journée. Il faut aussi que j'avale quelque chose avant de perdre connaissance. « Mademoiselle Grant. » Je me lève, un sourire arpentant mon visage mutin. « Bonsoir docteur. » Dis-je en entrant et en prenant place. « Comment vous sentez-vous aujourd'hui mademoiselle Grant ? » Je ne sais quoi lui répondre. J'ai passé la journée à m'occuper l'esprit pour ne pas plonger dans mes cauchemars. Je me tortille sur place, ne sachant pas si je dois lui dire toute la vérité ou mentir tout simplement comme je le fais assez voir trop souvent. « J'ai encore fait de mauvais rêves. » Je chuchote. Il passe alors ses mains dans ses cheveux. Il est jeune, il doit avoir la trentaine : il est brillant. « À l'identique ? » Je me contente d'acquiescer de la tête. « Vous dormez beaucoup la nuit ? » Comment lui dire que je ne dors quasiment plu. « Pas beaucoup. » J'admets. Ce n'est pas un mensonge, même si parfois cela en prend l'allure. « Vous devez être très occupé non ? » S'il savait ! Je travaille toute la semaine et le weekend je fais du bénévolat et je me rends à l'hôpital pour lire des histoires aux enfants souffrant de cancer. « Disons que je sais m'occuper. » Je souris poliment à mon psychiatre. La séance continue sur la même routine. Je refuse de prendre des médicaments pour dormir, je refuse le moindre médicament d'ailleurs, je sais tenir debout et cela depuis l'âge de mes huit ans, lorsque j'ai appris le décès de mes parents. « Comment cela se passe-t-il au bureau avec votre patron ? » Encore un sujet épineux. Une grimace fend mon visage. « Hum … C'est toujours aussi tendu je dirais. » Je ris bêtement et regarde ailleurs. La séance s'achève et je me lève pour serrer la main de mon psychiatre avant de disparaître dans les tréfonds de l'ascenseur. Les portes se ferment sur moi. Je suis seule. J'appuie sur le bouton d'arrêt et je me mets alors à pleurer et à hurler. Je frappe l'immense miroir de l'ascenseur. Cela dure quelques secondes, voir quelques minutes, peut-être un gros quart d'heure. Une fois remise, j'appuie de nouveau sur le bouton et je sors de l'immeuble comme si rien ne s'était produit.

» Besoin de vous (a)
» Besoin de liens.
» (w/Oz') Ce soir encore j'ai besoin de toi
» - BESOIN D'AIDE ? /FEAT ISAIAH BRIEN
» J'en peux plus d'entendre les sirènes même à travers le double vitrage (Elsie)